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J'ai retrouvé (grâce à Picasa) une fausse pub pour une carte graphique délirante de 1999. Maintenant, elle est presque réaliste...
C'est une fausse pub du magazine Maximum PC de septembre 1999. La Bitchin'fast 3D 2000 est dotée des 5 chipsets graphiques les plus en vogue du moment, de 256 Mo de LMNOPRAM, et peut avoir des radiateurs monstrueux et moches en option.
La Bitchin'fast 3D 2000 (cliquez sur l'image pour agrandir)
C'était super drôle et décalé, à l'époque, mais aujourd'hui, c'est la vérité !
Les cartes ont 256 Mo de RAM, comme la ATI Radeon 9800XT, et on a (à nouveau) des cartes embarquant plusieurs processeurs graphiques, comme la XGI Volari Duo, et surtout, on a des radiateurs monstrueux optionnels pour cartes vidéo :
Thermaltake Giant III
Et c'est pas le seul au monde, Zalman et Artic Cooling font des choses similaires... 🙂
En fait, on imagine des trucs monstrueux et complètement ridicules, mais ça finit par arriver ! 😀
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Depuis la photo numérique, on a de plus en plus d'images dans nos disques durs. Et c'est pas toujours évident de les classer correctement. J'utilise iPhoto, et je regrettais qu'il n'y ait pas de programme équivalent sur Windows. Mais j'ai découvert Picasa.
iPhoto fait partie de la suite iLife '04 d'Apple. Je l'ai tout de suite adopté, bien qu'il existe des programmes sur Mac qui sont bien plus performants. iPhoto est très simple à utiliser, et il est gratuit avec tout Mac neuf (49 € pour la suite iLife '04 au détail - quasi rien pour tout ce qu'il y a dedans, franchement). Et il n'existait pas de logiciel Windows capable de faire commune mesure avec iPhoto.
iPhoto 4
Adobe a sorti Photoshop Album, un premier clone d'iPhoto, mais il est cher (60 € pour le produit seul !) et il ressemble beaucoup à Photoshop, ce qui le rend un peu trop lourd et un peu trop compliqué pour un simple album photo. En fait je crois qu'il est trop "Windows", dans le sens que tout passe par des assistants. C'est bien, les assistants, pour commencer. Mais à la 53ème fois, ça gonfle...
Photoshop Album 2
Aujourd'hui, j'ai découvert Picasa. C'est un repompage complet d'iPhoto, qui ne tourne que sur Windows, et qui apporte quelques fonctions sympa. Cerise sur le gâteau, il est gratuit (depuis que Google a racheté Picasa et propose le logiciel gratuitement pour son service Google Images). 🙂
Picasa 1.6
Il a exactement les mêmes fonctions qu'iPhoto, même l'interface est quasi-identique. Mais il peut scruter toute la machine pour trouver images et vidéos, et il y a des options applicables à chaque dossier pour cataloguer les images, ne pas cataloguer les images, et ajouter les nouvelles photos. L'album s'entretient tout seul ! Bon, le diaporama n'a pas les transitions d'iPhoto, et il est un peu moins réactif qu'iPhoto (il freeze des fois), mais il a un mode de visualisation sympa, la chronologie :
La chronologie de Picasa
Ça montre les albums sur une échelle chronologique, avec un aperçu en fond, trè classe. L'effet de passage entre albums est aussi très réussi.
Au final, je resterai sur iPhoto, vu que j'ai toutes mes photos dessus, mais si je devais utiliser un album photo sous Windows, je prendrais Picasa sans hésiter ! Le logiciel n'est pour l'instant disponible qu'en anglais, mais nul doute qu'il y aura des versions localisées. En parlant de localisation, si Windows avait un support des langages comme Mac OS X, on aurait pas tous ces emmerdes de mix anglais-français. Mais je m'égare... 😉 Enfin bon, Picasa c'est bien, essayez-le !
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Les lieux de Da Vinci Code. Ne pas lire avant le livre !
Les héros de Da Vinci Code passent une bonne partie du temps de l'histoire en France. Voici certains lieux que j'ai pu visiter. Ils sont présentés dans l'ordre de mes visites, et non dans l'ordre chronologique du livre.
D'autres lieux seront ajoutés au fur et à mesure, suivant mes disponibilités et opportunités.
L'église St-Sulpice
L'église St-Sulpice
La photo a été prise pendant les travaux en septembre 2004, je la remplacerai un jour par une autre sans les échaffaudages...
C'est le faux emplacement de la clé de voûte désigné par le grand maître du Prieuré de Sion et ses sénéchaux à Silas. Cette église existe vraiment, et c'est bien vrai que le marquis de Sade et Charles Baudelaire y ont été baptisés, et que Victor Hugo s'y est marié. Par contre, je doute qu'il existe une cavité sous l'obélisque, et la ligne de cuivre n'est réellement un vestige d'un temple païen, c'est un marqueur pour un calendrier solaire marquant les solstices. Cette ligne de cuivre n'est pas non plus sur le méridien de Paris. Elle représente le tracé de la lumière du soleil passant par les vitraux de la nef. Il y a en effet une marque, symbolisée par un cercle en cuivre sur le sol, sur l'endroit où "passe" le soleil aux solstices.
Le curé de l'église St-Sulpice dément toutes les théories de Dan Brown dans cette note affichée près de l'obélisque :
La note du curé de l'église St-Sulpice
En fait, plus j'en écris sur Da Vinci Code, plus je déments les affirmations de l'auteur... Je vais finir par appeler la section "Da Vinci Code, c'est bidon"... 🙂
Photos de l'église.
Bientôt en ligne, "Les énigmes"...
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Présentation de Da Vinci Code, un thriller autour d'un mystère vieux de deux mille ans, de nos jours à Paris et Londres.
Disons-le tout de suite, l'auteur de Da Vinci code, Dan Brown n'était pas très connu avant la polémique autour de son dernier livre, où il déterre un complot vieux de deux mille ans.
L'histoire commence quand Jacques Saunière, conservateur au Louvre se fait assassiner par un moine albinos. Il est le dernier détenteur d'un secret du fond des temps, et alors qu'il est mourrant, il concocte un code qui permettra à Robert Langdon, professeur de symbolique religieuse à Harvard, et Sophie Neveu, cryptographe de la DST, de préver ce terrible secret et d'être par là même d'être poursuivi par le moine tueur, et d'autres puissants personnages de l'ombre...
J'ai adoré Da Vinci Code, pour son intrigue prenante, qui mêle action et réflexion, sur fond de légendes religieuses. Les rebondissements sont légion, et on se laisse avoir plus d'une fois par les fausses pistes posées ici et là par l'auteur. Dan Brown a un style efficace, enchaînant des chapitres courts se terminant sur un cliffhanger intenable, parfois même en annonçant les conséquences futures d'une action ayant lieu dans le chapitre courant à la manière d'une bande-annonce, en disant qu'il se passera quelque chose, mais pas quoi ! 🙂
Le livre est aussi parsemé d'énigmes, plus ou moins triviales, qui servent de fil rouge à l'intrigue. En fait, Dan Brown est amateur d'énigmes en tous genres, mais surtout anagrammes et code de César. Vous pouvez en trouver plus sur son site, www.danbrown.com (en anglais).
La polémique vient du fait que Dan Brown énonce certaines faits erroné ou des légendes urbaines comme étant véridiques, et accable l'église catholique avec des accusations plus ou moins directes de manipulation d'informations (accusations plus ou moins vraies, aussi). C'est peut-être le fait qu'il soit aussi apprécié en France ? 😉
J'ai lu tous ses autres livres (Angels & Demons, Digital Fortress, Deception Point) ensuite, et je me rends compte que ses histoires deviennent prévisibles une fois qu'on est habitué aux retournements de situations surprise. 🙂
Bref, lisez-le !
Pour ceux qui l'ont déjà lu et qui veulent des approfondissements sur les détails de l'histoire, par ici...