J'ai déjà dit que je voulais un iPhone. Toutefois, j'étais lié à Orange jusqu'au 1er juillet. Je n'ai donc pas pu me ruer dès le 24 juin pour en chopper un.

Mais lundi 29, je craque. Il ne reste que 2 jours d'engagement, il est possible que le portage soit possible quand même. Mais ! La boutique SFR de Nanterre n'a plus d'iPhone 3G S 32  Go noir... N'a plus d'iPhone 3G S tout court, d'ailleurs. Ils espèrent en avoir le vendredi 3, faut appeler à partir de 14 h... Ah, je suis allé chez SFR parce qu'ils ont un forfait 1 h de voix et tout le reste inclus, un peu moins cher que les autres pseudos-concurrents.

Qu'à cela ne tienne, je vais au SFR de La Défense, le lendemain. Là non plus ils n'en ont plus... Réapprovisionnement prévu le mardi 7...

Le lendemain, je surveille le site web, et vois un court instant un iPhone 3G S 32 Go... Blanc. Les vrais hommes prennent l'iPhone en noir. 😛

C'est après que je me dis que The Phone House en vend aussi... Je cherche sur leur site, ils ont tous les packs de tous les opérateurs, en toutes les couleurs... dans leur catalogue. En stock, ils disent juste "disponible dans X magasins", 0 ≤ X ≤ 5 pour SFR et Bouygues Télécom. Pour Orange il y en a plein partout, mais je veux pas payer 600 € chez Orange. Et je veux pas payer un forfait aussi cher que chez SFR pour repayer SMS et MMS derrière. No way Kevin. 😛

Le site de The Phone House est rusé. On ne peut pas savoir à priori quels magasins ont des stocks. Il faut entrer un code postal et ça indique les magasins à proximité qui ont tel ou tel produit. Je recherche donc 92000. Étonnamment, "Aucun magasin ayant ce produit n'est situé près de chez vous"... Je tente 75000. "Aucun..." 78000. Oh ! Vélizy en a !

Dans le doute, avant d'aller à Vélizy, j'appelle le magasin. Ils n'en ont pas. Le site est pas à jour... Tant pis pour The Phone Hopuse. 😛

Vendredi, j'appelle le SFR Nanterre. 14 h 05. Ils en avaient le matin mais ils sont tous partis comme ils sont venus. Bande de b@ar, vous m'aviez dit 14 ... 😕

Le week-end se passe sans rebondissements particuliers, tout le monde est en rupture.

Lundi 6, j'apprends que Bouygues Télécom a lancé son appli de TV sur iPhone. Et qu'ils auront le Visual Voice Mail dans le courant de l'été. Ça relance l'intérêt pour Bouygues... Et leur site indique qu'ils ont des iPhone 3G S 32 Go noir en stock ! Ils en ont peut-être en boutique, alors ?

Le soir, je vais à la boutique Bouygues Télécom de Nanterre. Ah, c'est fermé le lundi... Je repasse chez SFR dans le doute. "La semaine prochaine (peut-être, avec un miracle)". Frack.

Je commande donc en ligne chez Bouygues. Commande validée, toujours en stock. Miracle. Livraison prévue vendredi 10.

Et ce matin, mail de BT : "Nous vous informons que ce mobile est actuellement en cours d'approvisionnement." Étonnant. Mais le plus beau, c'est que le suivi de commande me dit que la commande est en préparation, et que la livraison est toujours prévue pour vendredi 10... Mieux encore : "Votre commande sera expédiée ce jour."

Bon, le portage est prévu pour le 18 juillet, donc j'ai un peu de temps, mais là je ne sais que croire. En fait si, je sais : il est en rupture, et il faut que j'attende que les lémuriens mongoliens qui fabriquent un seul iPhone par mois bien qu'ils se moulent le cul en cube pondent le mien... 😛

Suite au prochain épisode...

 Commentaires

alors :)?

La semaine dernière, c'était la merde. Mercredi, je constate que mon réfrigérateur est tiède. Daube. La congélateur semble aller bien, mais le côté réfrigérateur se réchauffe...

Je le nettoie, essaie de voir si le compresseur et le ventilateur tournent. Ayant des doutes sur le ventilateur, je désosse le frigo pour en être sûr. Le ventilateur marche heureusement. Mais maintenant le congélateur est chaud (température ambiante de 24+ °C). Dans le doute, j'enclanche le mode "super" du frigo et j'espère le mieux pour le lendemain.

Le lendemain, le réfrigérateur est tiède encore. Je suis désespéré. Je me suis presque rendu à l'idée de devoir changer de frigo... Je lui laisse quand même une dernière chance, relance le mode super et pars au boulot.

Le soir, le miracle se produit : il est froid ! 😀 Hosanna !

Rassurés, on peut enfin souffler, Séverine et moi. Et après coup, en relisant la notice du frigo, on constate une instruction : si jamais le frigo doit recevoir une grande quantité de denrées à refroidir d'un coup, il faut le pousser en mode "super". Or lundi, on l'avait bourré raz la gueule, il faisait chaud, et on n'avait pas mis le mode "super"... Il avait donc résisté 2 jours avant de succomber...

Tranquillisés, on est partis chez les parents de Séverine samedi dans la journée pour revenir dimanche. A l'ouverture de la porte, le signal d'alarme du frigo. OH NO.

Je m'attendais à une nouvelle rechute, que mon frigo-Lazare était reparti au royaume des cieux réfrigérés... Mais non. On a juste oublié de refermer le frigo correctement. Tout le côté réfrigérateur a été perdu. Le côté congélateur s'en est tiré avec un peu de givre. La poisse, alors qu'on avait justement évité de tout perdre en dégelant et arrêtant le frigo complètement une journée... 😕

Voilà comment cette semaine on a contrarié (je ne sais comment) le dieu des frigos, et comment on n'a pas échappé à son courroux. Frack.

Là ça a l'air bien mort. 🙂 (via PC INpact)

Mais bon, ça empêche pas le gouvernement d'espionner ses citoyens...

At work

J'ai enfin pu mettre en place mon projet de virtualisation. Pour ceux qui viennent de faire dans leurs têtes "HEIN ?!", c'est simple : le but de la virtualisation, c'est d'utiliser une seule machine puissante pour en émuler plusieurs (moins puissantes).

L'intérêt, c'est que ça coûte moins cher d'acheter une seule grosse machine que plusieurs petites (pas forcément toujours vrai mais bon). Et ça économise de la place. Quand on travaille comme moi dans une PME et que la "salle blanche" c'est un local climatisé de 2x3 m, tout espace gagné est bon à prendre. Puis toujours dans le cas de ma PME, on avait depuis toujours un nombre limité de machines avec des capacités variables, et toujours plus de services à implémenter. Et à la fin, ça devient nimp. Surtout avec les noms. Parce qu'une machine initialement achetée pour faire des tests de sites web devient finalement un serveur web de production. Et c'est top d'avoir "webtest.myroxxorcompany.tv" comme serveur web frontal...

La virtualisation permet justement d'éviter tout ce genre de bricolages. Si j'ai besoin d'une nouvelle machine, j'en créée une. Dédiée. Et ça ne change pas la charge globale, vu que ça aurait été inclus dans une autre machine. Bon après il y a un peu d'overhead parce que j'ai un OS en plus, mais FreeBSD est quand même assez léger.

J'ai donc arrêté 5 machines physiques que j'ai migrées sur mon serveur VMWare ESXi. C'est un truc fantastique. C'est un simple hyperviseur (le truc qui partage les ressources entre plusieurs machines virtuelles). Basé sur un noyau Linux, il est très petit (ISO de 250 Mo pour le disque d'installation), et ultra rapide à démarrer. Normal, il lance son Linux, ses services d'hyperviseur, et c'est tout ! Pas d'interface graphique sur le serveur, juste des menus en mode texte pour configurer l'IP de la machine, les mots de passe, etc.

Et tout se passe sur le VMWare Infrastructure Client, téléchargeable directement depuis le serveur ESXi. Bémol, Windows only. Mais il permet de gérer le serveur ESXi de A à Z, depuis la création des machines virtuelles jusqu'à la surveillance des ressources.

Avantage supplémentaire de la virtualisation, les machines virtuelles ont toutes le même "matériel". Les divers composants, contrôleurs disque, carte vidéo, lecteurs, ports sont des périphériques standards émulés par l'hyperviseur. Cela permet donc de déplacer une machine virtuelle d'un hyperviseur à un autre, sans devoir reconfigurer la machine ! On peut aussi sauvegarder une machine virtuelle complète et la restaurer sur un hyperviseur en quelques minutes, rêve de la récupération sur incident !

Par contre, c'est l'heure de la douche froide pour ceux qui étaient déjà en train de télécharger l'ISO pour l'installer chez eux : ESXi ne marche que sur certains serveurs avec certains composants bien particuliers. Cela comprend la plupart des serveurs de chez Dell, HP, Compaq, etc, mais pas les PC de bureau standard. Cet imbécile d'ESXi n'a pas de drivers pour les bon vieux ICHx, donc ne voit pas vos disque IDE et SATA connectés à votre carte mère grand public. Il ne s'installe même pas sur les PC de bureau Dell, c'est dire...

Mais bon, si vous avez un serveur agréé VMWare qui ne sert à rien sous la main, jetez un coup d'œil à ESXi, c'est sympa. 🙂